Suicide de l’arnaque virtuelle

Lui, elle le croyait pur

Elle le croyait net

Ce n’était qu’un leurre

Un mirage, une erreur

Caché derrière son internet

Un jeu sans pudeur

Un jeu sans odeur

Elle buvait ses paroles

Il exploitait ses images

Merci le réseau

Merci aux racailles

Il n’y a pas d’âge pour blesser

Il n’y a pas d’âge pour se cacher

Elle a cru en tes promesses

Tu n’étais qu’un vent de passage

Ton harem virtuel

Ta poubelle irréelle

Elle avait un cœur pur

Tu n’es qu’une ordure

Tu as défloré son cœur

La balle est partie,

elle aussi.

Hommage à toutes les victimes des arnacoeurs

@catherinehuldakoch